Peu importe l’âge, les soirées d’Halloween peuvent être franchement effrayantes, surtout lorsqu’on visite une maison hantée digne de ce nom. Mais comment fait-on pour créer l’épouvante?

Le Soleil
Pour le découvrir, Le Mag a rencontré l’équipe de la Maison Hantée de Saint-Étienne, en pleine préparation.
Isolée entre plusieurs entreprises et industries du parc industriel de Bernières, à Lévis, se trouve une maison ancestrale inoccupée. Situé dans un petit boisé avec un bon couvert forestier, l’endroit est charmant le jour, mais devient très sombre et un peu lugubre le soir venu…
«C’est littéralement comme si la maison nous attendait. Elle est vraiment parfaite pour nous», lance d’emblée Christian Vallerand, bénévole acharné et conjoint de Marie-Lyne Beauchamp, fondatrice de la Maison Hantée de Saint-Étienne.
La propriété inoccupée appartient à la Ville de Lévis, et elle leur a été prêtée spécialement pour y organiser un parcours hanté.
Tout comme M. Vallerand, plusieurs bénévoles et travailleurs s’activent sur place. Un électricien travaille dans un coin, tandis qu’un bénévole achève la finition d’un mur dans une autre pièce… La scène ressemble plus à un chantier de construction qu’à un parcours hanté!
«Ça demande vraiment beaucoup de bénévoles et de temps… mais aussi de la passion pour les maisons hantées!» confirme Marie-Lyne Beauchamp.
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